évolution

Pour ces dix ans, dont cinq ans d’absence, unnu, évolue,
ce structure pour que vous puissiez voir son cheminement.
Grace au nuage vous pourrez naviguer dans son histoire pour comprendre les changements permanents qui m'habitent.



10/12/2020

anarcosexuel 10 suite de la cinquième vie

 refroidi par la fermeture d'Hamazen, absorbé par mes problèmes de neuro-borréliose, je mettais mes idées de liberté sexuelle appliquée en jachère.

Dans ma tête, j'enregistrais l'ouverture du DG-club une boite de nuit gay, je mettais un an pour mis rendre. Comme d'habitude j'étais la à l'ouverture, et comme d'habitude j'étais le seul et le premier client...

Pour passer, le temps, je m'installais au bar avec un perrier à la main, il n'y a pas beaucoup de boisson sans alcool, sans sucre et sans bulle dans ces lieux, je mettais une croix sur l'option sans bulle! Quelques rares clients arrivèrent, firent comme moi, la musique tournait dans le vide, la piste de danse était déserte. Pour essayer de mettre de l'ambiance le patron derrière son bar nous parlait de sa bite, le sujet n'avait pas l'air de passionner l'auditoire, à cinq, six, à nous jauger de nos regard de bovins , debout derrière notre stèle, avec rien à nous dire. Je me demandais pourquoi j'étais la, j'envisageais de partir, seul l'effort que j'avais fait pour venir me retenais, je mettais lavé, je devrais dire récuré, j'avais fait un lavement profond, répété, mes intestins étais propres, laver comme des boyaux de charcutier ... Mes pensées étaient déjà dans le rêve d'un feu d'artifice. Miraculeusement, après m'avoir bien observé, un homme petit, tout rond, le crane rasée de frais me proposa, d'aller s’asseoir, nous nous installâmes autour d'une table, à l'écart, un peu dans l'ombre.

Sa conversation était agréable, sans complexe, il me mis à l'aise, me dit qu'il était très tactile, le mot me plu, sa mise en pratique pour expliquer concrètement de quoi il voulait parler, aussi! Notre coin de table devins un lieu de mouvement, de caresses, d’excitation, d'investigation, pour éviter de devenir un centre de spectacle, nous allâmes occuper la cabine. Il faisait chaud nos corps nus, collaient, s’entrelaçaient, glissaient, dansaient, roulaient, le matelas n'avait plus de sens, nos ondulations non plus, son sexe durcissait sous ma langue,au bout d'un moment il me demanda ce que je voulais, je l'invitais à me pénétrer, son doigt trouvait que j'étais trop serré, il entrepris un anulingus, c'est bizarre d'avoir du plaisir avec une pratique à laquelle vous n'avez jamais pensé. Il me demanda de m'insinuer en lui, je ne pu, trop mou, trop inexpérimenté, nous finîmes nos ébats par une masturbation palote. Puis retournions au bar, boire pour faire descendre la température avec une boisson fraîche.

Nous échangeâmes nos numéros, mais nos vies professionnelles décalées fit que ce fut malheureusement sans lendemain.

Ces amours mâles, bien que très maladroits, m’excitaient follement.










     

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