évolution

Pour ces dix ans, dont cinq ans d’absence, unnu, évolue,
ce structure pour que vous puissiez voir son cheminement.
Grace au nuage vous pourrez naviguer dans son histoire pour comprendre les changements permanents qui m'habitent.



6/24/2011

unnu 117





rêver de liberté sexuelle,
et être emprisonné dans un costume rayé,
oser la sexualité
tout simplement
juste pour le plaisir partagé.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Inutile de rêver de liberté sexuelle il faut la prendre, peut importe le costume, rayé ou pas, vivre et assumer sa sexualité est un défi de chaque minutes, tant qu'a partager le plaisir, pourquoi pas si j'aime d'amour.... Car je me donne totalement mais ne m'offre jamais à n'importe quel amant d'un moment

unnu a dit…

bonjour L-J,
Je n'ai ni amant, ni amour , prisonnier non de rayures mais de mes peurs, peur d'être montré du doigt, peur d'être rejeté par ceux que j'aime, peur d'être mis au banc,peur de l’ostracisme, peur d'être agressé...

si j'ai écris oser la sexualité, c'est parce que j'ai vu une affiche "oser le clitoris", faite par un mouvement féministe, je pense que de mettre le pénis ou le clitoris en avant est une erreur c'est le partage qui fait une relation pas une domination.

C'est vrai que dans notre société c'est un défi que d'assumer sa sexualité .
Merci pour ces pistes de réflexions que tu ouvre.
Amicalement
Unnu

Anonyme a dit…

Va visiter mon blog un article t'est spécialement dédié et te donnera ma réponse .

Amicalement L-J

unnu a dit…

Afin que chacun comprenne notre échange de commentaires, je me suis permis de publier avant ma réponse l’article de L-J, que je remercie beaucoup

A toi le prisonnier !!!
Avoir ni amant ni amour dans un vie ! est ce possible ? oui si vous êtes comme Unnu un être sensible et pétris de doute et d'incertitude , est ce une vie que cette vie là ! non est ma réponse, la peur d'être montré du doigt, d'être jugé ou bien encore l'ostracisme t'enferme dans une sourde douleur qui peu à peu te ronge de l'intérieur, tu est prisonnier de toi même, libère toi en pensant d'abord à toi, personne n'a le droit de te juger, aimer c'est d'abord partager et non condamner, même si c'est vrai que vivre sa sexualité est un défi , il est le tien autant que le mien , pour ma part je ne justifie jamais mes goûts sexuels, je n'ai pas à me justifier d'être moi, c'est à dire un homme annonyme parmis la foule .

Xersex a dit…
Je ne dis jamais rien sur ma sexualité, mais je n'ai pas de problèmes à dire qui j'aime les hommes (beaux et sexy, bien entendu;-) au lieu des femmes. Les hommes eteros ne savent pas ce que ils perdent!!! Si ils ne aiment pas les hommes, tant pis pour eux! Je me sens un privilégié, et je ne manque pas à le dire!
L-J a dit …
Rien que le fait d'aimer et d'être aimer est un privilège , je te rejoins et te donne raison
Xersex a dit…
Je ne justifie pas mes goutes sexuels! mais par sure je ne les étale pas! A qui devrait interesser avec qui je fais du sexe??? Seulement a moi!!!
Mon amour - si et quand il verra - sera pur: sans marriage et sans fils, chaque foi que je verrai mon copain il sera pourquoi je l'aime et je veux vivre avec lui! Sans autre liens que l'amour et le désir!!!

L-J,
Je te rejoins pour dire qu’aimer et être aimer est un privilège.
Moi qui n’ai pas cet avantage, mesure au combien tu es chanceux.
Je vis dans une province ou la promiscuité des connaissances, fait que même en étant discret tout se sait et que l’homophobie ambiante, de bon-ton, qui règne dans le peuple, vous désigne comme le bouc émissaire de leur médiocrité.
Je suis prisonnier de l’étroitesse d’esprit de mes concitoyens.
Ma peur vient des intimidations sournoises et quotidiennes que celui qui est différent subit.

Mon blog est mon cocon de liberté, merci de le partager et de me soutenir

unnu a dit…

Dis-moi qui sont ces gens - Saez

Ce titre est extrait de l'album : Saez (varsovie, L'alhambra, Paris)
Année de sortie : 2008

Dis-moi qui sont ces gens
Qui se montrent indécents
Qui s'embrassent en public
Moi je suis seul au monde
Je n'ai pas de Joconde
Pour faire les romantiques
Dis quelle est cette ville
Aux éternelles idylles

J'ai oublié son nom
En connais-tu la route
Et le prix que ça coûte
Des mers à perdre raison
Dis-moi qui sont ces gens
Qui promènent en semant
La grâce derrière eux
Rendant plus beau le monde
Qui emportent à la tombe
Leur amour avec eux

Connais-tu leur chemin
Le secret qui les tient
A la bonne fortune
Moi je n'ai que mes mains
Pour abriter chagrin
Quand eux ils ont la lune
Dis-moi qui sont ces gens
Qui abritent éclatants
Leurs yeux de trop d'orages
Dis-moi qui sont ces dieux
Qui des foudres et des cieux
Savent faire bon usage
Et rester hors du temps
Quand nous autre n'avons
Que l'hiver pour pâturage
Pour nos tristes pigeons
Qui sans destination
Nous renvoient nos messages
Dis-moi qui sont ces gens
Qui rient comme des enfants
Qui se donnent la réplique
Celle des Roméo, des Tristan, des Rimbaud
Celle des grandes musiques
Moi je n'ai que moi-même
Pour montrer de mon coeur
Sa nature impudique
Dis qui sont ces bourreaux
Qui me tuent sans un mot
De leurs yeux magnifiques
Dis qui sont ces bourreaux
Qui me tuent sans un mot
De leurs yeux magnifiques.

unnu a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=EKrA85G_TFI


pour l'écouter !

Xersex a dit…

wow! Je me rélis!