évolution

Grace au nuage vous pouvez naviguer dans mon histoire pour comprendre les changements permanents qui m'habitent.



11/03/2020

coucouning

l'autruche
embrassé
câliné
ramassé
chiffonné
caressé 
 

11/02/2020

dans du coton


pratiquement personne ne les vois, 
pourtant nous y prêtons une grande attention
c'est notre jardin secret
qui abrite un bonsaï que nous chérissons
que nous protégeons dans une fleur de coton.










 

11/01/2020

bonjour Emile

 


http://drawingwithmyfrienddick.blogspot.com/



je suis impressionné par tant de dessins, c'est plein d'humour et très cochon, j'adore la charcuterie, surtout les saucisses, ça tombe bien :) 

10/31/2020

anarcosexuel 11 cinquième vie suite première sodomie

 samedi 23 février 2019 midi au KS , je sonne, paye mon entrée, et un embout de lavement, je me déshabille, prends la serviette et part me laver, puis visite l'établissement.classique sauna, hammam spa, cabines, lumière assombri. Je m'installe nu assis sur ma serviette dans le sauna, le message est visiblement clair, un petit homme replet me rejoint, s'assoie à coté de moi et se touche.

Je regarde son pénis, il est comme le mien, cela me convient. Très direct il me propose d'aller dans une cabine, je le suis en lui disant que c'est la première fois d'être cool. Il se dirige vers une cabine précise, nous fermons la porte et commençons une danse horizontal d'attouchement, ses envies sont pressentes, rapidement son doigt explore mon anus, je lui prépare un préservatif, lui tends il l'enfile en faisant la mou, je me met à genoux sur le cousinage, met du gel, il me pénètre sans difficulté, et commence un va et viens régulier, je ferme les yeux pour mieux sentir cette sensation nouvelle, je calque ma respiration sur son mouvement, une joie m'envahie, j'ai enfin réussi à vaincre mes appréhensions, je suis bien.















10/26/2020

anarcosexuel hors saison












 ma féminité existe-t-elle?

j'ai cru enfant qu'il valait mieux être une fille. On admirait ma sœur qui jouait au foot, pour moi qui était un garçon c'était considéré comme normal. J'appréciais ma plus jeune tante qui jouait avec moi sans tricher et sans compétition, elle était mon exemple. j'obéissais à ma sœur aînée qui avait un statue spécial, que j'enviais. J'étais bien avec les filles. Les hommes de mon entourage étaient des êtres inatteignables.
J'ai souvent essayé de me mettre dans la peau d'une fille, par le déguisement, par le maquillage,  par le théâtre, en parlant plus aigu, en "faisant des manières", j'étais de leur coté.
Je me souviens du dédain, des insultes, femmelette, chiffe molle, tapette, en réaction j'ai joué le rôle qui me protégeais des coups, j'ai affiché une virilité  fictive pour éloigné cette brutalité.
je me suis trouvé à coté des filles. Une sorte de trahison.
Plus tard, j'ai compris, que jamais, malgré toute mon empathie je ne serais une femme.
jamais je n'aurais mes règles, je ne sentirais pas couler du sang entre mes cuisses pour le première fois, jamais je n'enfanterais, je ne craindrais pas l’épisiotomie , jamais je n'aurais ma ménopause,  avec ses bouffées de chaleur. même si j'ai des seins, aucun bébé ni boira du lait, et si je m'émascule, je ne ferais que perde un plaisir et non gagner un vagin. Je suis du coté des hommes, c'est comme ça. Je suis né mâle.
Mes muscles d'homme ne doivent pas asservir, mais enfanter.

 

     

10/16/2020

jouet

sans les mains,garder l'équilibre
pour jouer, 
pour jouir
pour poser

 pour s'entainer

10/15/2020