J'ai du mal à cerner la masculinité qui est en moi.
Je suis un homme, un vrai, un dur, j'ai fait mes preuves.
Mais ..... et oui mais,
comme la majorité des hommes qui m'entourent,je m'interroge sur la masculinité.
J'ai déja une chance sur certain, c'est mon père qui a fait le pas de la rupture avec le passé.
je suis un homme friable deuxième génération.
De l'extèrieur j'ai gardé un aspect rugueux, une armure pour éviter d'être attaqué,
mais derrière cette muraille, c'est le règne de l'emphatie, (le paradis c'est l'autre.)
Pour cacher cette gentillesse naïve, j'ai cultivé un langage grossier.
Puis je me suis mis à fumer de bonnes grosses vieilles gauloises sans filtre, (les blondes c'étaient des clopes de gonzesses! )
Alors que j'étais timoré, je me suis mis à m'obliger à faire des sports virils, escalade, parachutisme, judo.
J'ai fais divers travails purements masculins, (sans le bout d'un jupon à l'horizon,) du terrassement, de la maçonnerie, des travaux agricoles, camionneur, carrossier, j'ai travaillé sans compter mes heures, jusqu'a épuisement , boulot, frico, dodo et rebelotte le lendemain, juste pour prouver, (me prouver) que j'en avais .
Je ne regrette rien l'effort est source d'intense excitation, de bien être total.
Mais mon humanité, le fait que je suis un homme, est dans la joie que j'ai dans le partage avec les autres.
Un bon repas autour d'une grande table.
La vaiselle avec chacun son poste à se passer les assiettes et les fou-rires.
Une sieste dans le canapé à écouter les enfants qui s'amusent.
Une promenade à flaner et à discuter en petits groupes, des nouvelles, des peines et des joies de chacun.
Un travail organisé en commun et l'arrosage en fin de chantier.
Toute ces choses anodines de la vie, qui font la VIE, cette vie d'homme, cette vie qui fait l'homme.
évolution
Grace au nuage vous pouvez naviguer dans mon histoire pour comprendre les changements permanents qui m'habitent.

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5/01/2012
4/25/2011

4/22/2011
Franck
Il était gentil, doux, effacé, timide.
J’essayais de parler avec lui.
J’aurais aimé plus d’aisance dans nos discutions.
Je sentais une retenue.
Il manquait de confiance en lui.
Je l’appréciais, mais je le sentais aux aguets.
La grande vague du destin fait que nous nous sommes perdu de vue.
Trente ans sans nouvelles.
La semaine dernière, j’ai appris qu’il avait été très violement agressé, avec son copain, par un groupe d’homophobes qui avaient organisé une « expédition punitive » .
Ce choc, ce traumatisme, la peur d’une nouvelle agression ont fait éclaté leur couple.
Il n’a pas supporté, il s’est donné la mort.
Sa présence hante mes nuits, j’ai le cœur serré, j’ai la nausée.
Je pleurs le monde d’amour dont nous rêvions tant.
J’essayais de parler avec lui.
J’aurais aimé plus d’aisance dans nos discutions.
Je sentais une retenue.
Il manquait de confiance en lui.
Je l’appréciais, mais je le sentais aux aguets.
La grande vague du destin fait que nous nous sommes perdu de vue.
Trente ans sans nouvelles.
La semaine dernière, j’ai appris qu’il avait été très violement agressé, avec son copain, par un groupe d’homophobes qui avaient organisé une « expédition punitive » .
Ce choc, ce traumatisme, la peur d’une nouvelle agression ont fait éclaté leur couple.
Il n’a pas supporté, il s’est donné la mort.
Sa présence hante mes nuits, j’ai le cœur serré, j’ai la nausée.
Je pleurs le monde d’amour dont nous rêvions tant.
2/24/2011
unnu 22 essais hors page
J'ai découvert l'autofellation trop tard, lorsque j'avais perdu ma souplesse, à plus de quarante ans! Avant je n'en avais jamais eu l'idée tout seul. (j'étais un peu coincé niveau souplesse neuronale, vis à vis de la sexualité )Je ne suis donc plus assez souple mais avec un peu de scéance d'assouplissement et un bon échauffement j'arrive quand même à éjaculer directement dans ma gorge. Cela m'amuse, car honnêtement je n'aime pas le goût amer d'entrée de bouche de mon sperme, donc je ne prends aucun plaisir à me lécher les doigts.Mais lorsque le sperme chaud tombe directement dans la bouche cela me rapelle mon passé de vaurien ou je volais les oeufs aux "culs des poules" pour les gober. C'est aussi la même sensation que de boire du lait bourru.J'ai trouvé quelques photographies de malchanceux qui comme moi essais une autofellation sans beaucoup de succés,c'est avec un sourire amusé de frère d'infortune que je les ajoute aux miennes
unnu, un, un, un. essais hors page
40
Le massage prostatique est une découverte rescente!
Avant je ne pouvais même pas y penser, c'était un tabou personnel dont j'ignorais même qu'il était profondément enfuie dans mon inconcevable.
En fait avec des mesures d'hygiènes de base,se laver les mains et le derrière!
C'est un plaisir intense dont on a bien tord de se passer
Pour avoir du plaisir avec un massage prostatique, il ne faut jamais forcé, ne pas être pressé, et ça ne marche pas toute les fois, le temps est variable en fonction de la façon dont tu es détendu et de la position que tu prend ( à genoux , sur le dos les jambes relevé, sur le coté les genoux replié etc...)
lubrifie bien ton doigt, avec les ongles courts, et excite toi bien avec ta méthode préférer, (lecture , photos, pensées érotiques...)
quand tu es gâté,la rosée du désir, perle au bout de ton glands , voir même coule les jours de chance , voila la limite de mes connaissances
Le massage prostatique est une découverte rescente!
Avant je ne pouvais même pas y penser, c'était un tabou personnel dont j'ignorais même qu'il était profondément enfuie dans mon inconcevable.
En fait avec des mesures d'hygiènes de base,se laver les mains et le derrière!
C'est un plaisir intense dont on a bien tord de se passer
Pour avoir du plaisir avec un massage prostatique, il ne faut jamais forcé, ne pas être pressé, et ça ne marche pas toute les fois, le temps est variable en fonction de la façon dont tu es détendu et de la position que tu prend ( à genoux , sur le dos les jambes relevé, sur le coté les genoux replié etc...)
lubrifie bien ton doigt, avec les ongles courts, et excite toi bien avec ta méthode préférer, (lecture , photos, pensées érotiques...)
quand tu es gâté,la rosée du désir, perle au bout de ton glands , voir même coule les jours de chance , voila la limite de mes connaissances
2/23/2011
unnu 86 essais 1 intro
2/20/2011
unnu 85 essais 2 chercheur
Un éternel chercheur, la sexualité s'impose naturellement à moi en douceur en plaisir.
Sans contrefaçon, je suis un garçon, lascif, rêveur et agréable. Je déteste la violence. J'aime la vie, tranquillement, le bien être qu'elle procure.
2/17/2011
unnu 98 essais 3 drôle de genre
Que suis-je ?
Un homme ? Une femme ?
Asexuel ? Hétérosexuel ?
Homosexuel ? Bisexuel ?
Quand sais-je ?
S’il y a une chose dont je suis sur, c’est que je suis un garçon, sans contrefaçon.
C’est une affirmation que je formule depuis tout petit, je ne suis pas une fille.
J’ai un pénis, j’urine debout, je suis un mâle.
Pourtant je ne nie pas, ma féminité, je suis né d’une femme, c’est principalement, elle qui m’a élevé qui m’a éduqué, c’est ses yeux qui ont été mon premier miroir.
C’est aussi mes grandes sœurs qui ont été un modèle pour moi. Mon enfance et mon adolescence ont baigné dans la féminité, féministe de surcroît !
Je suis un être XY, un homme bercé par les femmes.
J’ai enfoui ma sexualité pour être accepté dans le gynécée composé par les copines de mes sœurs. Je me fondais tout petit dans leur groupe, pour ne pas être remarqué, j’étais l’espion qui écoutait leurs histoires de filles, leurs secrets, leurs intrigues, elles oubliaient que j’étais l’ennemi, le danger, le sexe opposé. J’ai croisé mes jambes pour cacher mon sexe, j’étais asexué, je pouvais rentrer dans leurs jeux sans les effaroucher.
Mais les hormones m’ont rendu émotif. Petit à petit mes joues ont rosi.
Mon cerveau a divagué sur des chemins de romances, puis il a pensé ‘femme’ plutôt que ‘fille’. Jusqu’au jour ou j’ai parlé sexualité avec une ou j’ai franchement rougi avec l’autre ou j’en ai trouvé une sur mes genoux, la, assise, confortablement installé. Elle m’a fait mâle. J’ai pris peur pour ma liberté et je me suis enfui…
Mais il était trop tard, mon cœur d’artichaut battait la chamade devant la beauté féminine.
Jusqu’au jour ou j’ai galéré vingt ans avec l’une d’elle, épris, attaché, ligoté.
Quand elle a coupé les cordes je n’ai pas été libéré, je suis tombé de haut, elle m’a fait mal.
Mon estime masculine a été ébranlée. Mes neurones ont pris des chemins de traverse, des canaux différents, ils se sont permis de penser autrement. Ils ont réveillé des sensations anciennes, auquel je n’avais fait attention. Mes rêves ont éveillé en moi des désirs de caresses virils, ils m’ont ouvert à des fantasmes musqués.
Je n’ai pas de relation, mais sans contrefaçon mon âme se tourne vers les garçons.
A mon grand étonnement, ils me fond tourner la tête, à mon grand amusement, ils me fond devenir bête.
Voilà le printemps, qui arrive et les tenues qui s’allègent, mes yeux ont maintenant deux raisons de briller.
Ils pétillent avec les filles, ils sont ronds avec les garçons….
http://www.psychomedia.qc.ca/tests/klein
Un homme ? Une femme ?
Asexuel ? Hétérosexuel ?
Homosexuel ? Bisexuel ?
Quand sais-je ?
S’il y a une chose dont je suis sur, c’est que je suis un garçon, sans contrefaçon.
C’est une affirmation que je formule depuis tout petit, je ne suis pas une fille.
J’ai un pénis, j’urine debout, je suis un mâle.
Pourtant je ne nie pas, ma féminité, je suis né d’une femme, c’est principalement, elle qui m’a élevé qui m’a éduqué, c’est ses yeux qui ont été mon premier miroir.
C’est aussi mes grandes sœurs qui ont été un modèle pour moi. Mon enfance et mon adolescence ont baigné dans la féminité, féministe de surcroît !
Je suis un être XY, un homme bercé par les femmes.
J’ai enfoui ma sexualité pour être accepté dans le gynécée composé par les copines de mes sœurs. Je me fondais tout petit dans leur groupe, pour ne pas être remarqué, j’étais l’espion qui écoutait leurs histoires de filles, leurs secrets, leurs intrigues, elles oubliaient que j’étais l’ennemi, le danger, le sexe opposé. J’ai croisé mes jambes pour cacher mon sexe, j’étais asexué, je pouvais rentrer dans leurs jeux sans les effaroucher.
Mais les hormones m’ont rendu émotif. Petit à petit mes joues ont rosi.
Mon cerveau a divagué sur des chemins de romances, puis il a pensé ‘femme’ plutôt que ‘fille’. Jusqu’au jour ou j’ai parlé sexualité avec une ou j’ai franchement rougi avec l’autre ou j’en ai trouvé une sur mes genoux, la, assise, confortablement installé. Elle m’a fait mâle. J’ai pris peur pour ma liberté et je me suis enfui…
Mais il était trop tard, mon cœur d’artichaut battait la chamade devant la beauté féminine.
Jusqu’au jour ou j’ai galéré vingt ans avec l’une d’elle, épris, attaché, ligoté.
Quand elle a coupé les cordes je n’ai pas été libéré, je suis tombé de haut, elle m’a fait mal.
Mon estime masculine a été ébranlée. Mes neurones ont pris des chemins de traverse, des canaux différents, ils se sont permis de penser autrement. Ils ont réveillé des sensations anciennes, auquel je n’avais fait attention. Mes rêves ont éveillé en moi des désirs de caresses virils, ils m’ont ouvert à des fantasmes musqués.
Je n’ai pas de relation, mais sans contrefaçon mon âme se tourne vers les garçons.
A mon grand étonnement, ils me fond tourner la tête, à mon grand amusement, ils me fond devenir bête.
Voilà le printemps, qui arrive et les tenues qui s’allègent, mes yeux ont maintenant deux raisons de briller.
Ils pétillent avec les filles, ils sont ronds avec les garçons….
http://www.psychomedia.qc.ca/tests/klein
unnu 112 essais 7 salle d'eau
Petit délire au sortir du bain, on se sèche, on se frotte, devant la glace, légèrement embué par la vapeur de ses ablutions et puis on se tourne et retourne devant le miroir pour voir si l'on a pas pris un tout petit peu de ventre, de ride, de cheveux blancs.
On scrute le moindre bouton, la moindre rougeur de peau, les poils disgracieux et les ongles trop longs. On a le temps, c'est dimanche et pour une fois on est seul et on a rien a faire, alors on se bichonne.
et pour finir on s'amuse avec son appareil photo, de mauvaises photos mais tellement sensuel, au moins pour celui qui les à pris !
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