Ce qui est écrit aujourd’hui doit
être lu demain.
Car les larmes de vos yeux
aveugles votre cœur.
Vous n’êtes pas mes amis, vous
n’êtes pas mes camarades, non, vous êtes
mes frères.
Car nous avons le même père.
Nous avons l’affection l’un pour
l’autre que tissent les liens d’une enfance commune bercée par la même mère.
Vous avez souffert plus que tout
autres.
Quelques-uns vous ont aidé.
Un peu plus, essais de vous
soutenir.
Mais vous avez peur de notre
défaillance et vous-voulez vous
débrouillé seul.
Ne tué pas votre petit frère,
quand votre cadet a essayé d’éliminer l’aîné.
Nous sommes, tous liés, frères de
sang, ou frères de lait, nous sommes condamnés à vivre sur la même terre.
Nous devons partager équitablement.
Nous n’en ferons rien, lorsque
nous serons en terre.
Le crime appelle au crime, le
seul vainqueur est la mort.
C’est lorsque l’on a enterré ses
morts que l’on peut continuer à vivre.
Alors les yeux séchés, on peut
signer la paix.
2 commentaires:
Pardon, pardon, pardon! Je ne m'étais pas rendu compte de ton retour sur la toile. Le lien (dans tous les sens) est rétabli.
bonjour Unnu, heureux tde te trouver à nouveau!!!
Enregistrer un commentaire