évolution

Pour ces dix ans, dont cinq ans d’absence, unnu, évolue,
ce structure pour que vous puissiez voir son cheminement.
Grace au nuage vous pourrez naviguer dans son histoire pour comprendre les changements permanents qui m'habitent.



8/24/2010

unnu 60 souvenirs 16 lubrifier



Lotion
Un matin, dans la salle de bain une érection matinale avait décidé de me faire enrager.
Je m’étais, la veille, tellement masturbée que la zone du frein était rouge et douloureuse.
Mais cette maudite érection dure comme du bois, me faisait mal au ventre et me tentait horriblement. La bouteille de lait pour nettoyer les fesses de mon petit frère était en évidence sur la tablette de la salle de bain, l’idée a germé, je l’ai mise en application, vraiment génial, ça apaise, ça lubrifie, ça sent bon, et ça laisse la verge toute douce….
Le lait à l’amande douce est celui que je préfère.





8/15/2010

unnu 59 souvenirs 17 rasoir

15
Confidence
En descendant du lycée, Eric et moi parlions de tout et de rien, car nous n’étions pas franchement ami. Pourtant, je ne me rappel plus comment Eric a introduit le sujet, il se mit à parler de se raser les poils du pubis pour que ceux ci repousse plus drue, je suis rester baba, car je ne m’attendais pas à ce genre de conversation avec lui, d’autant plus que je ne voyais pas l’intérêt d’avoir plus de poil. Il enchaîna sur la masturbation en en parlant comme quelque chose de tout naturel, j’ai envié sa façon détachée d’en parler car j’en étais incapables. Le résultat de cette conversation c’est que je me suis rasé pour être débarrassé de ses poils qui me gênaient plus qu’autre chose, j’étais bien dans mon enfance et je faisais de la résistance pour grandir. J’ai regretté cet acte car les poils repoussent (si, si !) et qu’avec les vêtements ils piquent. J’ai bien essayé de ne pas mettre de slip pour ne pas avoir de tissus plaqués dessus, mais ça ne marche pas. C’est suite à cette expérience que je suis resté adepte du naturel.






8/11/2010

unnu 58 souvenirs 18 stupide


chahut
Nous étions en week-end éclaireur nous avions installé plusieurs matelas devant la cheminée afin de profiter de la chaleur du feu, je pense qu’il y avait, Olivier, les deux Philippe, Joël, Eric, Guy, et moi je ne sais pas pourquoi l’idée m’est venu d’essayer de tirer sur le bas de pyjama de Guy, ça à amusé les autres qui ont chahuté finalement, à ma grande surprise Guy très fier a descendu lui-même son pantalon et c’est tourné vers nous pour que tout le monde puisse voir son sexe qui était petit fin et bien poilu. Puis il a dit, à raison, que comme c’est moi qui avais eu l’idée je devais montrer le mien et il a organisé le chahut dans ma direction. Comme un imbécile, je me suis débattu violemment c’est Olivier qui a intelligemment arrêté le combat en leur disant qu’il leur expliquerait. Quelque année plus tard, Joël me dit que lui aussi était, circoncis que ce n’était pas grave, j’ai trouvé l’intervention touchante, mais cette sacrée pudeur m’a empêché de lui dire comme elle m’avait empêché de me déculotter !








unnu 57 souvenirs 18 plouf


16
Piscine
J’ai été à la piscine durant de nombreuses années, tous les mercredis après midi.
Officiellement, même dans mon fort intérieur du reste, c’était pour me muscler.
Je ne pense pas que cela m’ais fait du mal, mais la nage petit chien n’est pas connu pour ces vertus de musculation.
Donc, me voilà dans le bassin la tête hors de l’eau, faisant des allers retours lentement calmement, l’oreille et l’œil aux aguets de tous ce qui se passe autour de moi.
Principalement le cours de plongeons, ces garçons et ces filles du lycée, qui s’entraînent à sauter depuis le haut du grand plongeoir tout en vrilles et en roulades m’impressionnent beaucoup, tant par leurs performances sportives que par la beauté de leurs corps.
C’était la mode des maillots de bain ‘Arena’ bleu foncé en coton traité, (avant, l’utilisation de l’élasthanne ) ils se tendaient au moment de saut plaquant le corps et le découvrant l’instant d’une fraction de seconde divine pour l’œil.
C’était aussi toute la petite vie de la piscine qui m’intéressait, particulièrement celle de mes congénères, qui jouaient sur le bord et qui s’excitaient mutuellement, l’air de rien, souvent une érection spontanée donnait lieu à toute une activité suivie par quasiment la totalité de la piscine. Tantôt, l’intéressé sautait dans l’eau pour cacher la chose, tantôt, il était assez fier, c’est ceux la que l’on remarque le plus, il y a ceux qui paradent sur le bord pour affrioler les filles, il y a ceux qui retournent aux vestiaires, avec un ou deux copains pour leur faire admirer l’objet, voir, le toucher, j’adorais tous ces va et viens ces rires, cette agitation, regarder les protagonistes, mais aussi voir la réaction des autres sainte ni touche qui comme moi ne perdait pas une miette de la scène.
J’aimais aussi l’ambiance des douches et des vestiaires, je traînais, pour me doucher en regardant subrepticement les autres, mais aussi, en plaquant mon maillot de bain avec le jet de la douche pour faire apparaître mes formes, souvent un jeu de voyeur et d’exhibitionniste se mettait en place sans un mot, les plus osez, se savonnaient les parties en passant la main dans leur maillot et les laissait entrevoir. Dans les vestiaires j’aimais lire les petites annonces et autres stupidités écrites aux dos des portes, et écouter les échanges hardis de certain.
Le ramollissement de l’eau, l’effort physique (quand même) l’ambiance stimulait ma libido je ne pouvais m’empêcher d’aller me masturber à la salle de bain en rentrant chez moi.
Les vertus du sport son vraiment indéniable !







unnu 56 souvenirs 19 cramoisi


Fraternel
Mon petit frère et moi avions la même chambre, lorsque qu’a son tour la puberté est arrivée, j’aimais en observé l’évolution à la dérobé, je trouvais vraiment émouvantes ses érections du matin qui se devinaient sous le drap et à travers son pyjama. Il aimait aussi se battre pour mesurer sa force à la mienne, ces luttes me provoquaient des érections et tout joyeux il profitait de ma honte pour me plaquer les épaules au sol. Je le soupçonne de s’en être aperçu et d’en avoir joué, mais nous n’en avons jamais parlé.












unnu 55 souvenirs 20 dortoir


17
Chambrée
Au lycée, nous étions quatre par chambre, comme nous n’étions plus des fillettes mais des jeunes hommes virils nous dormions en slip, Daniel le plus jeune n’avait ni ses yeux, ni sa langue dans sa poche et nous demandaient des précisions sur la sexualité comme si un an de plus, nous, conférais une grande expérience, un grand savoir. Ainsi un jour théorisais t-il sur les érections matinales en nous faisant remarquer que Dominique n’en avait pas tous les matins alors que lui et moi de dérogions jamais à la règle, mais que Joël en avait rarement. Au début nous étions gênés mais à force cela nous amusait et nous provoquions même des commentaires de sa part. Ainsi, Dominique avait amené la pochette du disque de ‘Téléphone’ pour montrer les musiciens la verge camouflée entre leurs jambes ce qui donnait l’impression qu’ils avaient une vulve. A notre grand contentement Daniel alla bien au-delà de ce que nous attendions, il essaya immédiatement devant nous si sa marchait, en commentant que la position était désagréable, que sa pinçait, les testicules, que sa déséquilibrait et qu’il ne resterait pas comme cela des éternités. Un jour il mis, Dominique mal a lése en lui parlant de ses slips ouverts grand modèle digne d’un vieillard, à force d’insister, il obligea Dominique à lui expliquer que quand il était petit ses testicules n’étaient pas descendus qu’il avait été opéré et que le médecin lui avait conseillé d’avoir des slips larges afin de ne pas devenir stérile.
Malicieux Daniel lui demanda s’il savait s’il était stérile ou pas et comment on faisait pour le savoir Dominique tout rouge lui rétorqua que l’on analysait le sperme après s’être masturbé. Rebondissant sur cette information, Daniel organisa un concours de branlette, auquel je n’osais participé, tout fier il le gagna et fit régulièrement des remarques sur la taille démesurée des attributs de Joël, comme quoi il valait mieux, une petite rapide, qu’une grosse paresseuse.  










unnu 54 souvenirs 21 kaki


20
Sans les mains
Au service militaire, nous étions en chambrée de seize, assez bruyante et avec une promiscuité maximum. Ma libido dans cette période, était plutôt nulle, d’autant plus que j’ai besoin de huit heures de sommeil, et que j’étais loin de les atteindre. Ce contexte faisait que je ne me masturbais que rarement.
Un jour, entre le repas de midi et l’appel, fatigué, je me suis profondément endormi, à plat dos sur mon lit, en treillis, casquette, et rangeo. Mon sommeil fut agité par des rêves érotiques du au manque de pratique. Je m’éjaculais dessus sans aucune retenu, béat. Mon réveil fut instantané. J’ouvrais les yeux me demandant ou j’étais. Face à moi mon voisin de lit me regardait avec un grand sourire fraternel, sans un mot la solidarité masculine fonctionnait à font. Doux moment, doux souvenir, grande nostalgie.










unnu 53 souvenirs 22 douches

Les douches au service militaire Nous avions d’abord les douches communes et obligatoires une fois par semaine, Une salle avec Quarante pommeaux au plafond et quarante appelés tous nus dessous. Le sergent ouvrait l’eau, qui souvent était trop chaude et nous transformaient en homards, puis nous avions quelques minutes pour nous savonner avant d’être, à nouveau arrosé. Nous avions aussi par baraquement quelques douches en labyrinthe (sans porte, juste avec une cloison décalée) C’était celles que j’utilisais, tous les jours, bien qu’elles soient froides en été. C’est dans ces douches ou la plupart du temps j’étais seul, (le militaire français n’est visiblement pas très porté sur le savon), un jour j’ai surpris à mon grand amusement, un voyeur se tordant le coup pour m’observer. J’en ris encore, car à l’époque malgré mes vingt ans, j’étais grand et dégingandé, une soixantaine de kilo pour un mètre quatre-vingt environ, les cotes saillantes, un coup osseux ou l’on comptait les vertèbres, un duvet blond en guise de moustache, le dos rond et des jambes d’échassier, bref un profil de petit chose pas sexy du tout !